Témoignages

Je remercie Aurélie, Claire, Hélène, Laëtitia, Ludivine, Julie, Margot et Sylvie, pour la confiance qu’elles m’ont accordée, et pour leurs témoignages dont des extraits figurent dans Les chemins de le fertilité et que vous pouvez lire ci-dessous en intégralité.

 

Le témoignage d’Aurélie

(qui a bénéficié de séances d’hypnose préconceptionnelle®)

Pourquoi je viens faire de l’hypnose (quelle est la demande, le besoin en amont) ?

Lorsque j’ai rencontré Karine en décembre 2023, j’avais déjà approché pas mal d’autres médecines douces (acupuncture, reiki, magnétiseur, sophrologie…). Lors de son intervention à une réunion organisée par l’association Les Cigognes de l’Espoir pour présenter son métier, nous avons très vite compris avec mon mari que l’hypnose était ce qu’il nous manquait pour nous épauler au cours de notre long parcours en PMA; c’est ce qui me permettrait certainement de plonger au plus profond de moi-même et de libérer des blocages enfouis.

 

En quoi l’hypnose m’aide sur le plan psychique et émotionnel ?

Sur le plan psychologique et émotionnel, je dirais que l’hypnose permet d’avoir un peu plus confiance en soi, de se sentir comprise dans nos combats, de lever certains doutes, d’atteindre la capacité de se sonder profondément en pratiquant des voyages intérieurs puissants (il m’est arrivé que les larmes coulent toutes seules tellement la projection était intense) et d’évacuer des frustrations.

 

Est-ce que l’hypnose préconceptionnelle aide sur d’autres plans que la PMA pure et dure (d’autres problématiques travaillées) ?

Nous travaillons d’autres problématiques que le problème de conception car en début de séance, nous faisons un état des lieux de l’état d’esprit du moment et lors de la toute première séance, nous relatons tous les faits marquants de notre vie. Karine pose beaucoup de questions et creuse lorsqu’elle décèle un évènement ou une problématique à travailler. Par exemple, pour ma part, notre première séance a permis d’aborder mes anciennes relations amoureuses toxiques, chose nécessaire afin que j’assimile que ma vie actuelle n’était plus liée à ces deux hommes.

 

Est-ce que certains freins psychologiques qui peuvent freiner la conception peuvent être identifiés et travaillés ?

Les freins sont identifiés grâce à la longue conversation que nous avons en première séance et sont travaillés en général avec la méthode de l’entonnoir; les freins décelés les plus récents sont abordés en priorité et nous remontons dans le temps. Puis certains freins peuvent apparaître plus tard au fur et à mesure des séances en fonction des problématiques qui surviennent subitement qui seront traités le jour même où nous en parlons. Je suis actuellement dans mon deuxième cycle de 5 séances car j’ai compris qu’il y avait des blocages non levés car non abordés. Je sentais qu’il fallait creuser plus.

 

Comment je vis ce genre d’accompagnement ?

Je vis cela comme une bouffée d’oxygène maintenant que nous avons réussi à identifier la majorité des freins qui se sont insinués en moi tout au long de ma vie, mais je dois avouer que certaines séances ont été très difficiles, pas sur le moment, par forcément pendant la séance, mais pendant quelques heures après, une réelle envie et besoin de rester au fond de mon lit en déprimant et encaisser ce qui venait d’émerger. J’ai pensé même à arrêter à un moment donné mais je savais qu’il était nécessaire de « se faire du mal » pour aller mieux ensuite.

Le témoignage de Claire

(qui a bénéficié de séances d’hypnose préconceptionnelle®)

Je m’appelle Claire, j’ai 37 ans et atteinte d’endométriose . Nous sommes en parcours Pma depuis maintenant 4 ans pour agrandir notre famille d’un 2eme enfant. 

Je suis adepte de la médecine douce, ayant déjà tenté la sophrologie, l’acupuncture, la micro kiné, je me tourne vers l’hypnose que j’avais déjà testé une fois auparavant mais qui ne m’avais pas réellement soulagée. Je suis interpellée par Karine qui de son côté a un profil d’hypnose préconceptionnelle, et sa démarche me rend curieuse  de la rencontrer et de découvrir ce qu’elle propose au travers de ses séances . 

La première séance avec Karine m’a permis de tout d’abord m’entretenir avec elle sur mon passé, mon histoire, mon enfance tout ce qui tournait  autour de moi à cette époque. Karine a le don de nous faire parler sans tabous; avec facilité je raconte ma vie personnelle, familiale, mon combat contre la maladie, nos difficultés à concevoir ce 2eme enfant, elle me met en totale confiance pendant cette échange . 

Puis elle met en lumière une problématique, celle qu’elle soulève comme étant celle qui nous bloque, nous empêche d’avancer… 

Nous nous installons alors sur une table de massage, recouverte d’une petite couverture, dans la pénombre,  guidée par la douce voix de Karine,

Nous fermons nos yeux et nous nous plongeons dans notre subconscient, tout de même encore consciente de ce qui se passe autour de soi mais happé par le lieu dans lequel elle nous invite, une mise en situation dans laquelle Karine nous emporte. Nous nous retrouvons à résoudre ce problème par l’inconscient, nous nous laissons guider et parfois quelques larmes coulent, car notre esprit est entrain de travailler, de débloquer des cadenas verrouillés.  

Il aura suffit de quelques séances pour débloquer un conflit familial douloureux,  la croyance que mon endométriose avait abîmé mon corps qui ne pouvait peut être plus porter la vie. Dans cet état d’hypnose, Karine m’a permis de débloquer des peurs, d’aborder aussi plus sereinement le lourd parcours qu’est la PMA . 

Elle m’a  fait rencontrer la « mère universelle » à travers les séances, cette mère qui veille sur nous, sur notre fertilité, sur notre utérus, notre capacité à concevoir. 

Et ces images mentales m’ont été bénéfiques pour avancer dans notre cheminement pour accueillir ce 2eme enfant. 

Au delà de ces séances, Karine m’a donné des audios à écouter avant, pendant et après notre transfert d’embryon, et cela m’a beaucoup aidé à visualiser, à croire en la faculté de mon corps à porter la vie. 

Et c’est ce qui m’a permis de tomber enceinte dès le premier transfert dans le cadre d’une nouvelle tentative. 

Et pour cela je ne l’a remercierai  jamais assez de m’avoir permise de croire en mon corps, en ma faculté de porter la vie. 

Le témoignage d’Hélène

(qui a bénéficié de séances d’hypnose préconceptionnelle®)

Ne me sentant pas en forme, je farfouille sur internet voulant me trouver de quoi passer un petit moment rien que pour moi. J’ai plutôt en tête un massage, un moment de relaxation et de fil en aiguille, je tombe sur la page de Karine. De l’hypnose ? Jamais testée. Le destin ? Un signe ? Moi qui ai en tête de devenir maman depuis des années sans parvenir à l’être, je me dis que c’est le moment. Ni une ni deux, je prends rendez-vous sans trop d’attente particulière en me disant que ça me ferait au moins une pause dans ma vie à 1000 à l’heure.

Je rencontre Karine et je sens tout de suite que « ça va le faire », on discute, elle teste ma réceptibilité à l’hypnose et c’est parti pour plusieurs séances. Karine arrive tout de suite à me mettre les mots sur mes maux. Je sors de ma première séance en pleurs avec la folle envie de revenir, d’avancer et d’ôter tous ces blocages que j’avais soigneusement enterrés pensant depuis toujours que ces derniers n’avaient pas d’incidence avec le fait que mon conjoint et moi n’arrivions pas à avoir d’enfant.

De séance en séance, je commence à y voir plus clair et à comprendre que la PMA ne pourra être bénéfique qu’en complément d’un travail profond sur moi-même. Aujourd’hui, j’ai pris beaucoup de recul sur mon histoire, mes doutes, mon passé. 

Je ne remercierai jamais assez Karine car au moment où j’écris ces quelques lignes, je suis sur le point d’accoucher et de faire la plus belle rencontre de ma vie. Mon conjoint et moi sommes sur un petit nuage évidemment !

Le témoignage de Julie

(qui a fait un don d’ovocytes)

J’ai une amie qui a mon âge et qui est en couple depuis des années et, malgré un parcours de PMA qui a duré des années, ils n’ont jamais réussi à avoir d’enfant. J’ai vu cette fille changer : déprimée, devenir méchante, ne voulant pas voir nos copines enceintes pendant toute leur grossesse. J’ai vu à quel point ça lui portait sur le moral. A l’époque j’étais abonnée à Causette et j’ai lu un articule annonçant un projet de loi pour ouvrir le don d’ovocytes aux femmes qui n’avaient pas eu d’enfant, ce qui n’était pas le cas avant. J’ai donc pris contact en 2015, avec une clinique toulousaine. J’avais 33 ans, ils m’ont donné rendez-vous avec un médecin et une psychologue et ils m’ont expliqué qu’il fallait avoir du temps pour le don, j’ai donc attendu d’être vraiment disponible pour le faire : je l’ai fait un an et demi plus tard.

J’ai assisté à une réunion d’informations, j’ai été impressionnée de voir le nombre de couples très jeunes qui venaient bénéficier d’une PMA car je pensais que cela ne concernait que des couples ayant dépassé la trentaine.

Les médecins étaient ravis car ils avaient très peu de donneuses, ils ont été adorables et m’ont bien tout expliqué. Lors des entretiens on m’a posé des questions sur mes motivations et on m’a demandé si je voulais garder des ovocytes pour moi. J’ai refusé car, pour moi, quand on fait un don ce n’est pas pour en garder pour soi (comme pour le don de sang). La psy m’a questionné sur le rapport à l’enfant et a vérifié que c’était clair pour moi que je ne serai pas la mère de cet enfant.

Ce qu’ils m’avaient dit c’est que le don était anonyme et gratuit et que l’anonymat pouvait être levé uniquement en cas de problème génétique grave. Les cas de contacts potentiels sont la découverte d une maladie chez l enfant pour laquelle je pourrais être donneuse ou pour m avertir d une maladie génétique dont je pourrais être porteuse. 

A l’époque ça me rassurait que ce soit anonyme, même si je comprends le besoin des gens qui veulent savoir d’où ils viennent et connaître leurs origines. Quand la loi a changé, j’avais peur que la nouvelle loi soit rétroactive car je ne suis pas à l’aise avec l’idée de donner mon accord aujourd’hui pour la divulgation de mon identité. Je ne sais pas comment je réagirais si j’étais contactée par un enfant issu de mon don.

Concernant l’acte médical en lui-même, tout avait été parfaitement bien expliqué par l’équipe, je n’ai pas eu de mauvaise surprise. J’ai eu une stimulation ovarienne pendant 2 semaines avec piqures matin et soir et j’allais régulièrement à la clinique pour les échographies pour monitorer le développement les ovocytes. A l’époque, je cherchais du travail donc j’étais disponible. Ce doit être plus compliqué pour une femme qui a moins de temps libre quelque soit ses contraintes (travail, enfants, éloignement de la clinique…).

Le jour de la ponction je suis allée à la clinique, avec une anesthésie au masque, donc je ne dormais pas complètement. Je ne sais pas dire combien de temps ça a duré et je n’ai pas le souvenir d’avoir eu mal après. Ils ne m’ont absolument pas dit combien d’ovocytes ils ont prélevé. Le médecin m’a appelé pour me remercier d’être allée au bout de la démarche.

Je suis très attachée à la gratuité du don, comme le don de sang. Ma peur c’est d’imaginer qu’à partir du moment où il n’y aurait plus de gratuité il risquerait d’y avoir commerce et ça, ça me gêne. Mais en même temps, il est vrai qu’il faut du temps et de la disponibilité pour faire un don.

Je pense aussi que les femmes ne savent pas qu’elles peuvent donner. On entend toujours parler du don de sperme et pas de celui d’ovocytes ! Pendant le parcours, J’ai aussi appris qu’on pouvait donner pour permettre à des proches d’être pris en charge plus vite. C’est dommage que ça ne soit pas plus connu.

Le don d ovocytes n’est pas connu et mérite une communication bien plus large. Le parcours nécessite d’être disponible sur une courte période. Pour ma part, l’accompagnement de l’équipe médicale a permis d en faire une expérience simple et mémorable. 

Je suis célibataire sans enfant et je pense que ma situation a facilité ma prise de décision. J’imagine que c’est différent pour une femme en couple et/ou ayant déjà des enfants. Chacune doit rester libre de s engager dans un don ou pas; il n y a pas de mauvaise décision. 

Le témoignage de Ludivine

(qui a bénéficié de séances d’hypnose préconceptionnelle®)

Après plusieurs années d’un parcours compliqué de PMA, difficile tant psychologiquement que physiquement, j’étais en pleine souffrance, détruite.

J’ai vécu beaucoup d’échecs, j’ai découvert l’existence de mon endométriose, j’ai rencontré des professionnels de santé pas toujours très empathiques dans le dur combat qu’est la PMA… Le côté humain avait complètement disparu de mon parcours, j’étais devenu un numéro, un utérus vide. J’ai sombré en dépression.

Puis j’ai rencontré Karine dans une conférence de l’association « les Cigognes de l’Espoir » aidant les personnes en parcours de PMA. Son discours m’a permis de rêver de nouveau à la possibilité de devenir « maman ». Très rapidement j’ai obtenu un rendez-vous, puis plusieurs…

L’hypnose a eu plusieurs effets :

  • Me détendre, me redonner des forces, de la confiance pour réitérer mes tentatives de FIV que j’avais mises complètement de côté
  • Réparer la part de moi qui avait été détruite psychologiquement
  • Me mettre en condition avec des audios transmis à écouter jusqu’au jour du transfert pour m’aider à « visualiser » le fœtus
  • Me remettre dans un état d’esprit positif pour penser à mon foetus et lui insuffler de l’énergie

Grâce à cette énergie retrouvée, après quelques mois, je suis tombée enceinte et mon rêve est devenu plus que réalité car je suis l’heureuse maman de jumelles qui ont aujourd’hui 18 mois.

Karine a été un des maillons importants de mon parcours.

Elle m’a réappris à espérer, à croire au possible.

Le témoignage de Laëtitia

« Et si c’était un cauchemar… Vais-je me réveiller ? »

Quelques mois après notre mariage, avec Vivien, j’apprends par ma gynécologue que je suis stérile. Je suis choquée, sonnée… Mon monde s’écroule sous mes pieds ! 

Il m’a fallu du temps pour comprendre et accepter ce chemin éprouvant.

Trois ans de Procréation Médicalement Assistée à Saint Saulve, sans résultats.

Six tentatives qui m’ont laissé beaucoup de séquelles. 

Après un constat avec le médecin spécialisé, nous décidons de faire une pause nécessaire dans le processus afin de me réserver.

Évidemment l’envie d’avoir un enfant se fait ressentir très vite et de plus en plus…

Je ne pouvais plus attendre les essais en France.

Je décide avec mon époux de suivre notre dernière chance !

Avec l’aide d’une amie, je trouve une association qui m’ouvre les portes à une autre opportunité. (Les cigognes de l’espoir). Nous sommes invités à une réunion d’informations sur le Don D’ovocyte à l’étranger.

Plusieurs personnes du milieu médical et de médecine douce étaient présentes pour nous aider pour cette nouvelle étape. Je me souviendrais toute ma vie de ce moment où Karine a pris la parole, et a expliqué sa méthode de travail, et son approche. J’ai tout de suite été happé par ses mots ! Ils m’ont touché en plein cœur comme si quelqu’un pouvait « Enfin » comprendre ce que je ressentais, toute cette peine que j’ai enfuie en moi pendant ces années…

Voilà le soutien que j’attendais ! 

Malgré les soixante-sept kilomètres que je devais parcourir pour nos séances cela n’était rien à côté du bien que me procuraient nos échanges. Karine a réussi à identifier de suite mes blocages : La culpabilité, le décès brutal de mon beau père à quatre mois du mariage, mon cancer étant plus jeune, la P.M.A et l’angoisse de ne pas réussir… et d’autres que j’ignorait totalement.

À la fin de notre première heure d’hypnose, je me suis assise au volant de ma voiture, j’ai pris une grande inspiration et j’ai pleuré … Beaucoup pleuré ! Pendant de longues minutes, un tsunami d’émotion m’a envahi et je savais que j’avais trouvé LA BONNE PERSONNE pour m’accompagner dans cette méthode de travail sur moi-même. Celle qui m’aidera à devenir maman, j’en suis sûre ! 

Chaque séance passée auprès de Mme Delmas a été bénéfique, des étapes franchies main dans la main avec beaucoup de bienveillance et de soutien, m’ont permis de me libérer de ces poids qui m’empêcher d’avancer surtout en vue de notre voyage à Zlin, République Tchèque.

Je souhaite vraiment à toutes les personnes qui pousseront la porte du cabinet de Karine, de ressortir apaisées et réceptives comme moi je l’ai été. Je me dis très souvent :  » Si je n’avais pas fait cette merveilleuse rencontre, je ne serais pas Maman aujourd’hui « 

Je suis partie à Zlin en juin 2021, le cœur léger avec des ondes positives, et la force pour effronté cette épreuve… J’étais optimiste et réellement soulagé de tout ce combat monstrueux qu’est la P.M.A.

Je ne remercierais jamais assez Karine pour sa gentillesse, son soutien et, son professionnalisme.

Vous avez été le premier pas vers mon rôle de maman.

Aujourd’hui, je suis heureuse !

Maman d’un petit garçon de 17 mois, Maxence est mon rayon de soleil.

A chaque fois que je me plonge dans ces magnifiques yeux bleus, j’y vois ma détermination mais aussi ma victoire sur l’infertilité.

L’hypnose préconceptionelle n’a pas changé ma vie, elle l’a sauvée !

Le témoignage de Margot

(qui a bénéficié d’une séance d’hypnose préconceptionnelle®)

Après 2 enfants conçus sans problèmes, mes « deux coups de chance » comme dirait ma gynéco, le petit dernier a su se faire désirer. Je commence les examens pour une PMA où l’on me diagnostic un SOPK, après une batterie d’examens je tombe enceinte, naturellement, mais cette grossesse n’aboutit pas, je dois provoquer une fausse couche médicamenteuse, hémorragie, la grossesse est terminée et j’aurais pu y rester. S’ensuivent des piqûres, des hormones, des échographies, j’ovule mais ça ne prend pas, je m’enfonce dans ma tristesse et ma frustration, jusqu’à ce que j’en parle a Karine qui me propose une séance d’hypnose. Elle m’a aidée à faire le deuil de cette grossesse et de cet enfant rêvé, et de reprendre confiance en mon corps, lui qui m’avait trahi. Après la séance j’ai beaucoup pleuré ça m’a aidé à faire sortir toute cette tristesse que je gardais pour pouvoir avancer et faire une place a cette future grossesse. Séance faite en avril, bébé s’est niché fin mai, j’avais besoin de terminer une histoire pour en commencer une autre, l’hypnose a été un outil formidable pour y arriver !

Le témoignage de Sylvie

(qui a bénéficié de séances d’hypnose préconceptionnelle®)

J’ai eu plusieurs fausses couches, au bout de la 3eme nous avons pu pousser les examens et le verdict tombe : j’ai une translocation chromosomique équilibré, donc avoir un bébé en bonne santé c’est un peu la loterie. Soit j’essaie naturellement jusqu’à ce qu’un bébé soit sain, soit mon alternative est de faire une FIV DPI. Nous tentons une première FIV DPI à Bruxelles, mais c’est un échec, le seul embryon restant est porteur d’une anomalie chromosomique.

 

Nous décidons l’année d’après en aout 2023 de recommencer l’expérience, nous savions que c’était notre dernière tentative, c’est à ce moment la que je décide de mettre toutes les chances de mon côté. Je commence par aller voir mon ostéopathe qui me dit que tout est noué au niveau des émotions, et que je dois me diriger vers d’autres professionnels pour m’aider à libérer tout ça.

 

Je crois beaucoup aux médecines parallèles, je fais donc une séance de magnétisme, puis je veux également faire de l’acupuncture avec un professionnel qui m’avait déjà aidé dans mon parcours, mais celle ci n’est pas disponible et me conseille Mme DELMAS pour de l’hypnose qui est spécialisé pour aider les personnes dans le parcours PMA.

 

Je consulte donc Mme DELMAS en juillet 2023, j’y vais sans savoir à quoi m’attendre mais j’y crois car je sais que tout aide et tout soutien dans ce parcours me sera bénéfique. Cette consultation d’hypnose était forte, j’ai pleuré, libéré tout ce que j’avais refoulé concernant mes fausses couches, j’ai vu apparaitre mes deux grands mères décédées, des figures fortes et symbolique pour moi, puis ma maman, comme si elles étaient la avec moi pour m’aider dans ce parcours, c’était fou! Je suis sortie de cette séance, vidée, libérée d’un poids que je pensais avoir guéri avec le temps, je me suis sentie mieux, et prête à affronter les épreuves.

 

Nous nous sommes revues pour une seconde séance, je me suis vue maman. J’étais avec mon mari à la maternité entrain d’accoucher, comme un signe prémonitoire. Je me suis accrochée à tous ces signes pendant les séances.

 

Malheureusement la FIV DPI faites en aout est encore un échec, mais je le vis différemment.

J’ai foi que ca arrive naturellement car même si mon problème est génétique je sens que chaque rencontre que j’ai faite m’a fait du bien et m’a aidé à avancer dans ce parcours.

Je n’étais pas encore prête à faire le deuil de la maternité, je savais que ce n’était pas encore le bon moment et que je devais continuer d’y croire. 

 

C’est sans hésitation que j’aurais revu Mme Delmas pour m’aider dans le deuil de la parentalité car je sais que ca m’aurait énormément aidé pour tourner la page.

Mais en novembre 2023 une jolie surprise, je tombe enceinte, et cette fois ci c’est la bonne : nous attendons un petit garçon pour aout 2024 !  

Le livre est disponible en librairie
et en e-book.

Disponible en ligne aux Editions du Dauphin

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